Témoignages
J'ai 40 ans, séparée avec une fille de 13 ans. Je suis en fin de deuxième année à l’ISRP. J’étais ingénieur dans un laboratoire de recherche et après avoir fait un bilan de compétences je me suis lancée. J’ai préparé le concours seule avec l’aide du site internet du CNED (académie en ligne) qui publie tous les cours de première et terminale et avec des annales. J'ai eu un financement Fongecif Île de France pour ma première année et j’ai quitté mon entreprise à l’issue de mon congé de formation. J’ai ensuite touché les indemnités chômage pour ma deuxième année mais financé les frais de formation seule, avec une petite aide financière grâce aux heures de DIF que j’avais sur mon Compte Personnel de Formation. Pendant cette 2ème année, j’habite la moitié de la semaine chez mon conjoint à Tours où je fais mes stages et l’autre moitié en région parisienne pour suivre les cours. Pour l’an prochain je compte refaire ma demande au pôle emploi pour la prise en charge de ma 3ème année, sinon je chercherai un contrat en alternance.
J' ai 35 ans, mariée, 1 enfant de 3 ans. J'étais conseillère en banque, et j'ai profité de l'arrivée de mon fils pour préparer les concours pendant un congé parental. Depuis, je bénéficie d'un congés sabbatique, qui me permet (à défaut de toucher une indemnisation salariale) de ne pas perdre d'avantages financiers liés à mon contrat de travail. De plus, même si je suis certaine de mon choix, cette situation m'assure "théoriquement" mon emploi si je souhaite y revenir, ce qui a le mérite de me tranquilliser, et de tranquilliser mon mari malgré tout. J'ai budgété le projet au plus large, mais je prévois malgré tout de faire la troisième année en alternance.
J'ai 34 ans, en couple, 3 enfants de 5, 3 et 2 ans. J'étais ingénieur en sécurité informatique et présidente de la crèche parentale où sont gardés mes enfants. J'étais alors en CDD à 80% jusqu'à la veille de passer le concours de l'ISRP. J'ai préparé le concours sur mon temps libre et fait une semaine de stage intensif à Expert Santé. Mon projet a été validé par Pôle Emploi et je bénéficie de mes droits pendant les deux années légales et j'aurai ensuite l'indemnité de fin de formation. Malgré le rythme soutenu voire très soutenu parfois de la formation je suis ravie de mon choix !
Après avoir travaillé près de vingt ans dans le tourisme d’affaires dans le domaine pharmaceutique comme directrice de projets, mes objectifs professionnels ont évolués. Maman de trois enfants, les déplacements étaient devenus difficilement conciliables avec ma vie de famille.Aussi, à mi-chemin de ma carrière professionnelle et suite à un bilan de compétences, j’ai souhaité m’orienter vers une formation dans le domaine de la santé où le contact humain est au cœur de la relation. Soigner, améliorer le quotidien de patients et participer à leur autonomisation me correspondent mieux.
Je m'appelle Raphaël, j'ai 23 ans je suis actuellement en 2ème année du D.E. Après mon bac, j'ai obtenu une Licence de Psychologie clinique de l'université Paris VII, suite à quoi j'ai travaillé pendant un an dans le domaine de la petite enfance : animation, L.A.E.P, formations courtes. Durant cette année de césure, je me suis renseigné sur le métier de psychomotricien en rencontrant des étudiants et des professionnels. Il m'était possible d'intégrer le cursus du D.E par le biais de "l'article 25", qui reconnait ma licence comme équivalence pour rentrer en première année, sans passer par le concours, mais par un entretien de motivation, écrit et oral. En tant qu'article 25, j'ai pu assister à tous les cours, théoriques comme pratiques, en bénéficiant de frais de scolarité réduits durant ma première année.
J'ai 40 ans lorsque je décide de réaliser ce projet fou de me reconvertir, de passer le concours d'entrée et de repartir pour 3 ans d'études. Mariée, 4 enfants, contrôleur de gestion depuis 15 ans, j'ai pris un congés parental de 3 ans pour ma dernière fille au bout desquels j'ai effectué un bilan de compétences mettant clairement en évidence pour souhait pour travailler dans le domaine de la santé. Pôle emploi m'a accompagné lors de l'année de concours et la première année. Je ne perçois plus aucun aide financière actuellement. Le rythme est intense mais les études passionnantes.
Après quelques années de pratique dans l'animation professionnelle, notamment auprès d'enfants en situation de handicap, j'ai décidé de me ré-orienter en psychomotricité. J'ai donc démissionné de la fonction publique (pas le bon plan pour avoir des financements!). Après une prépa qui m'a permis de me mettre à niveau sur le programme de biologie, j'ai intégré l'ISRP. Je suis aujourd'hui en fin de 2ème année. La formation est passionnante. Plus j'avance et plus je découvre de nouveaux aspects de ce métier. J'espère poursuivre ma formation en alternance l'année prochaine.
Diplôme dans seulement 1 ans, pour mes 31 ans!!!
Après de longues études à la fac en biologie/écologie (double bac+5), des jobs plutôt précaires, de nombreux voyages et la naissance de ma fille, j’ai fait le choix à 34 ans de donner plus de sens à ma vie en me lançant dans la préparation du D.E de psychomotricien. Ma tentative de rentrer à l’ISRP sans passer le concours d’entrée à échouer alors je me suis pliée à ce rite de passage comme de nombreuses autres personnes ! Habitant en province du côté de Nantes et sans école dans l’ouest, ma migration hebdomadaire vers la capitale s’est imposée. Même s’il est vrai qu’il n’est pas toujours facile pour moi de me séparer de ma famille le dimanche soir, je connais les raisons qui me poussent à ce sacrifice. J’ai la chance d’avoir le soutien de mon entourage, cela est vital ! Pour ma deuxième et troisième année, j’envisage l’alternance en province qui me permettra de partager de nouveau le quotidien de ma famille en plus de retrouver mon autonomie financière. Si c’était à refaire, je ne reviendrai pas sur ma décision de me reconvertir tellement chaque jour la psychomotricité m’enrichit et me fait la promesse d’un avenir exaltant !
J’ai 40 ans, mariée, 2 enfants. Initialement diplômée éducatrice spécialisée, mon cheminement professionnel m’a amené vers la formation de psychomotricien. J’ai pu éviter le concours d’entrée et accéder directement à la 2ème année, peu de personnes y parviennent, mais je suis la preuve que c’est possible ! C’est une grande chance, car les indemnités de pôle emploi ne peuvent couvrir que 2 années de formation, donc pour que mon projet soit viable il ne pouvait en être autrement. C’est une formation riche et intense, le rythme quand on habite en province est soutenu, la motivation et le soutien des proches sont nécessaires. J’ai pu trouver une alternance proche de chez moi pour ma 3ème année.
Après avoir travaillé près de vingt ans dans le tourisme d’affaires dans le domaine pharmaceutique comme directrice de projets, mes objectifs professionnels ont évolués. Maman de trois enfants, les déplacements étaient devenus difficilement conciliables avec ma vie de famille.Aussi, à mi-chemin de ma carrière professionnelle et suite à un bilan de compétences, j’ai souhaité m’orienter vers une formation dans le domaine de la santé où le contact humain est au cœur de la relation. Soigner, améliorer le quotidien de patients et participer à leur autonomisation me correspondent mieux.
Je m'appelle Raphaël, j'ai 23 ans je suis actuellement en 2ème année du D.E. Après mon bac, j'ai obtenu une Licence de Psychologie clinique de l'université Paris VII, suite à quoi j'ai travaillé pendant un an dans le domaine de la petite enfance : animation, L.A.E.P, formations courtes. Durant cette année de césure, je me suis renseigné sur le métier de psychomotricien en rencontrant des étudiants et des professionnels. Il m'était possible d'intégrer le cursus du D.E par le biais de "l'article 25", qui reconnait ma licence comme équivalence pour rentrer en première année, sans passer par le concours, mais par un entretien de motivation, écrit et oral. En tant qu'article 25, j'ai pu assister à tous les cours, théoriques comme pratiques, en bénéficiant de frais de scolarité réduits durant ma première année.
J'ai 40 ans lorsque je décide de réaliser ce projet fou de me reconvertir, de passer le concours d'entrée et de repartir pour 3 ans d'études. Mariée, 4 enfants, contrôleur de gestion depuis 15 ans, j'ai pris un congés parental de 3 ans pour ma dernière fille au bout desquels j'ai effectué un bilan de compétences mettant clairement en évidence pour souhait pour travailler dans le domaine de la santé. Pôle emploi m'a accompagné lors de l'année de concours et la première année. Je ne perçois plus aucun aide financière actuellement. Le rythme est intense mais les études passionnantes.
Après quelques années de pratique dans l'animation professionnelle, notamment auprès d'enfants en situation de handicap, j'ai décidé de me ré-orienter en psychomotricité. J'ai donc démissionné de la fonction publique (pas le bon plan pour avoir des financements!). Après une prépa qui m'a permis de me mettre à niveau sur le programme de biologie, j'ai intégré l'ISRP. Je suis aujourd'hui en fin de 2ème année. La formation est passionnante. Plus j'avance et plus je découvre de nouveaux aspects de ce métier. J'espère poursuivre ma formation en alternance l'année prochaine.
Diplôme dans seulement 1 ans, pour mes 31 ans!!!
Après de longues études à la fac en biologie/écologie (double bac+5), des jobs plutôt précaires, de nombreux voyages et la naissance de ma fille, j’ai fait le choix à 34 ans de donner plus de sens à ma vie en me lançant dans la préparation du D.E de psychomotricien. Ma tentative de rentrer à l’ISRP sans passer le concours d’entrée à échouer alors je me suis pliée à ce rite de passage comme de nombreuses autres personnes ! Habitant en province du côté de Nantes et sans école dans l’ouest, ma migration hebdomadaire vers la capitale s’est imposée. Même s’il est vrai qu’il n’est pas toujours facile pour moi de me séparer de ma famille le dimanche soir, je connais les raisons qui me poussent à ce sacrifice. J’ai la chance d’avoir le soutien de mon entourage, cela est vital ! Pour ma deuxième et troisième année, j’envisage l’alternance en province qui me permettra de partager de nouveau le quotidien de ma famille en plus de retrouver mon autonomie financière. Si c’était à refaire, je ne reviendrai pas sur ma décision de me reconvertir tellement chaque jour la psychomotricité m’enrichit et me fait la promesse d’un avenir exaltant !
J’ai 40 ans, mariée, 2 enfants. Initialement diplômée éducatrice spécialisée, mon cheminement professionnel m’a amené vers la formation de psychomotricien. J’ai pu éviter le concours d’entrée et accéder directement à la 2ème année, peu de personnes y parviennent, mais je suis la preuve que c’est possible ! C’est une grande chance, car les indemnités de pôle emploi ne peuvent couvrir que 2 années de formation, donc pour que mon projet soit viable il ne pouvait en être autrement. C’est une formation riche et intense, le rythme quand on habite en province est soutenu, la motivation et le soutien des proches sont nécessaires. J’ai pu trouver une alternance proche de chez moi pour ma 3ème année.